[RP]La taverne du cochon siffleur

Retire ca main vivement

"Hola mon garcon! on se calme! Je ne te permet en aucun cas de me poser ce genre de question!"

Se leve

"Approche toi encore une fois de moi et tu es mort, c'est clair?"

se dirigeat vers la table de rusky

"Vous permettez que je m'assoit avec vous?"

Ruski comme sortant des limbes, regarda un instant la femme de ses yeux bleu et glacés. Il sourit en penchant la tete vers une chaise une vide, pour l'inviter à s'assoir

"Mais bien sur, ma chere, vous etes ici toujours la bienvenue... Serais je de l'agacement qui filtrerais de votre voix d'habitude si controlée ?"

Ruski ranga la fiole de venin

S'assit a la chaise désignée par Rusky

"De l'agacement? oui on peut dire ca... Le type qui vient de partir a eu le culot de me draguer.
C'est pas une agence matrimoniale ici, je pourrais presque etre sa mère en plus"

Regarda la fiole avant que Rusky ne la range

"Toujours au travail a ce que je voit"

"La nature à cela de magnifique qu'aucune de ses oeuvres n'est durable. Le granit devient poussiere, la fleur fane, l'homme mort, et le poison s'évapore.
Et je n'aime pas etre prit de vitesse, dans le feu de l'action. Quoi de plus de doux que de pouvoir compter sur ses habitudes rodés une fois le moment venus. Vous en conviendrez anticipation et invention sont les secret de la longévité dans se genre d'activité. Bien qu'il m'arrive de sortir mes crocs sans concertation... Mais je brode, je brode ..."

Il sourit en plongeant sa main dans une de ses sacoche de cuir et en sorti un objet entouré de soie qu'il tendit à Turicella

"Regardez par vous meme"

Turicella dévoila une bague finement ouvragé d'un anneau d'or et d'un boule grise semi précieuse, deux autres boule pourpre et l'autre verte roulerent sur la table quand elle déballa la bague

"C'est une bague mortelle. Un dard sur lequel est vissé une boule contenant un poison. La boule grise est faite à base d'une solution de champignon, une fois piqué la victime auras des visions du à son esprit. La rouge est celle qui tue, un poison foudroyant qui fait cesser les battement du coeur en quelques instant. Le vert endort pour une bonne heure. C'est mon premier exemplaire pour le moment."

Esquissa un sourire

"Et bien mon cher, je voit que vous etes plein de surprises... Très bel ouvrage en tout cas, qui pourrait se douter que cette bague renferme du poison..."

Se remit à observer la bague avec attention

*Magnifique*

"Et bien si vous recroisez votre ami prétentieu, refroidissez dont ses ardeurs avec une petite piqure"

il rit doucement

"Faite bien par des défaut et qualités dans vos utilisation, et n'hesitez pas a venir prendre des boules, quand vous les aurais utilisé"

Rit

"C'est une idée en effet..."

Repris la bague ainsi que les boules et enveloppa le tout soigneusement dans le morceau de soie

"Je vous remercie"

Lui sourit "Vous pouvez etre sur que j'en ferai bon usage"

Après avoir écouté toute la nuit les histoire délirantes d'un vieux bonhomme étrange, Turicella se leva, déposa quelques pieces sur le comptoir...
Se dirigeant vers la porte, elle remarqua un homme portant un masque posté dans l'obscurité,mais fit mine de ne rien remarquer

*Etrange*

Elle sortit dans les ruelles, le soleil se levant à peine

Ruski sortit de nouveau du matériel de sa besace, bras articulé, bracelet de cuir et divers mécanisme d'une arbalete, qu'il s'essaya d'assembler en grognant. A la lueur des torches, une dizaine de biere et d'heures plus tard, il s'éponga le front satisfait du résultat.



Il l'as passa attacha l'arme a son avant bras gauche et le braqua dans autour de lui

"Parfait ..."

Puis il y placa un carreau, raccourcis de quelques centimetre, et replia les tendeur vers l'interieur pour recouvrir l'etrange arme, de sa manche noir.

Ombre rentra dans la taverne, et appercevant Ruski dans un coin se dirigea vers lui.

"Bonjour, j'aurai quelque chose à vous demander, est-ce le bon moment ?"

*Tiens, il y a quelque chose sur son poignet, mais quoi, difficile à dire..
Sinon tout m'a l'air tranquille, je peux me relacher un peu..*

Ombre s'assit à la table de Ruski et commanda deux verres. Puis il scruta la salle, atendant la réponse de Ruski.

Ruski leva son regard glacé vers ombre

"Biensur je suis toute ouie, que t'arrives t'il ?"

Une serveuse amena les deux bières. Ombre les prit et en tendit une a Ruski. Il donna quelques deniers à la serveuse. Ombre rammena son regard sur Ruski.

"Eh bien dans nos activités, il est évident que le poison est un accesoire utile, voire nécéssaire... Il se trouve que mon dernier fournisseur a eu un.. accident.. Et j'ai pu constater que contrairement a moi, tu a l'air de t'y connaitre en poison. J'aurais besoin de quelque chose de foudroyant, et qui ne laisse le moins possible de traces. Bien sur, si il y a quelques douleurs avec, je ne vais pas dire non... Je suis prêt bien entendu a mettre le prix qu'il faut, alors, est-tu d'accord de me fournir?"

*Oula, je me mets a beaucoup parlé, peut-être la bière..*

Ombre attendit calmement que Ruski lui réponde...

Ruski posa de lentement sa main sur son menton et transperca Ombre du regard

"Ummm... A appliquer sur une arme, ou sous forme de nuage toxique, on d'un objet ordinaire ?"

Ombre répondit :

"A appliquer sur un objet ordinaire... volontiers."

*Il a un regard froid, cela le rend inquiétant..*

Ombre finit sa choppe et de sous son masque, rendit son regard a Ruski..

"Ca devrait faire l'affaire, un concentré de stramoine. Surtout ne le respire pas"

Il fit glisser une fiole sur la table dans les mains d'Ombre

Ombre saisit la fiole et la rangea sous sa cape. Après quoi il se leva.

"Merci, je te revaudrai ça."

Il laissa glisser une bourse sur la table et se retourna en direction de la porte.

*Je vais faire des essais sur mes vaches, on verra bien si c'est efficace.. Si sa tue une vache, je doute fort qu'elle tienne longtemps...*

Sort discrétement de la taverne pour se fondre dans les petites ruelles...

"Attend... j'ai le droit de savoir qui a rendez vous avec la mort ?"

Il émit un sourire carnassier, tandis qu'il se sentait lui meme frustré de devoir attendre